Leurs efforts de médiation auprès de Téhéran contrarient le projet des Occidentaux de sanctions rapides à l'ONU. Une diplomatie Sud-Sud se dessine sur le dossier nucléaire iranien. L'entrée en lice d'un duo de pays « émergents », le Brésil et la Turquie, sur cette question de prolifération, traitée depuis des années par le groupe dit « 5 1 » (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Russie, Chine, Allemagne), est un fait nouveau et marquant. L'initiative conjointe turco-brésilienne contrarie les projets des Occidentaux, qui cherchent à faire adopter des sanctions contre Téhéran au Conseil de sécurité de l'ONU avant que celui-ci ne soit présidé, en mai, par le Liban.
Meu voto hoje é do Psdb. Duas questões somente me preocupam: a educação, que em São Paulo fontes seguras dizem que é um lixo, e a política externa. Nessa última, qualquer mudança da diplomacia Sul-Sul citada no excerto do Le monde seria algo desagradável, apesar de Serra ser de esquerda. Espero que neste caso Lula tenha deixado marcas indeléveis.
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